jeudi 14 juillet 2016

Quand la fête devient deuil national...

après un moment d'incrédulité et de révolte, les mots du poète (formulés pour évoquer un autre désastre) sonnent juste comme il faut...

Saccagé le jardin des fiançailles en un soir soudain de tornade
Fauchés les lilas blancs, fané le parfum des muguets
(...)
Un cri de désastre a traversé de part en part le pays frais des vins et des chansons
Comme un glaive de foudre dans son coeur, du Levant au Ponant.
Léopold Sédar Senghor

2 commentaires:

tricotine a dit…

ça c'est envoyé!!!

jardinette a dit…

chaque jour son lot d'horreur ! jusqu'où irons nous ? aujourd'hui un curé de 86 ans assassiné dans son église ! le chemin du paradis en ligne direct !quel choc pour les témoins de ce drame !